Chaque semaine, De Quoi Je Me Mail présenté par François Sorel ouvre le débat sur l'actu high-tech ! En compagnie de journalistes, mais aussi de personnalités spécialistes du numérique, nous analysons, décortiquons les grandes tendances du moment.
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ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
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Voici une étude récente de Pew Research qui met en lumière un constat surprenant. La majorité des professionnels aux États-Unis n'utilisent pas encore l'intelligence artificielle dans le cadre de leur travail. Surtout, ceux qui le font restent plutôt sceptiques quant à ses avantages. Une adoption encore très faible Premier point, l'adoption est encore très faible. D'après l'étude, près de 80 % des professionnels outre-Atlantique n'ont pas recours à l'IA dans leur activité professionnelle . Et parmi ceux qui l'utilisent, rares sont ceux qui trouvent qu'elle leur apporte un réel bénéfice. En fait, moins d'un tiers des personnes interrogées se disent enthousiastes à l'idée d'intégrer l'IA dans leur quotidien professionnel. Ce constat est d'autant plus important pour nous français que les américains sont véritablement des pionniers de l'IA générative. Les nouveaux produits d'IA viennent le plus souvent d'entreprises américaines. Elles les lancent en premier sur le marché américain avant de les décliner ensuite pays par pays. Donc si l'on extrapole cette étude américaine, on peut aisément en déduire que l'usage de l'IA par les pros en France est encore très très faible également. Un manque de formation et de vision claire sur l'IA en entreprise Les répondant à l'étude soulignent, et c'est notre deuxième point, un manque de formation et de vision claire sur l'IA en entreprise. Une des raisons avancées par l'étude à la faible utilisation est que peu d'employés ont reçu une formation sur l'IA. Seuls 24 % des sondés disent avoir été formés à son usage. Sans formation, difficile d'adopter une technologie et d'en comprendre le potentiel. De plus, les entreprises elles-mêmes semblent manquer de stratégie quant à l'intégration de l'IA dans le travail au quotidien. De fortes inquiétudes sur les emplois Troisième point enfin, il semble que le peu d'enthousiasme provienne aussi des fortes inquiétudes que l'IA fait peser sur les emplois. L'étude montre que 52 % des professionnels se disent plus inquiets qu'optimistes quant à l'impact de l'IA sur leur emploi. Cette peur est particulièrement forte chez les employés aux revenus faibles et moyens, qui redoutent que l'IA réduise leurs opportunités professionnelles. En revanche, ceux qui travaillent dans la technologie, la finance ou l'assurance sont plus enclins à penser que l'IA peut leur offrir de nouvelles opportunités. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Et si le secret du bien-être était simplement… de couper Internet sur son smartphone ? C’est en tout cas ce que suggère une nouvelle étude qui montre des bénéfices surprenants sur la santé mentale après seulement deux semaines de sevrage numérique . Voyons cela en trois points. Moins de stress et plus de concentration L’expérience a été menée sur près de 500 volontaires âgés de 18 à 74 ans. Pendant deux semaines, ils ont dû désactiver l’accès à Internet mobile sur leur téléphone, mais tout en gardant la possibilité de passer des appels et d’envoyer des SMS. Le résultat, c'est que 91 % des participants ont déclaré se sentir mieux mentalement, éprouver un sentiment plus important de satisfaction au quotidien, et ressentir une meilleure capacité d’attention. Une baisse radicale du temps d’écran En clair, la durée quotidienne d’utilisation des écrans des gens qui ont réalisé l'étude a fortement chuté. Il est passé de plus de 5 heures à environ 2 heures et demie par jour. Cette réduction du temps d'écran a permis aux participants de consacrer plus de temps à des activités comme les rencontres physiques, la pratique du sport ou encore les balades en plein air. Mais attention, ils n'ont pas ressenti les effets positifs de manière immédiate. Les effets positifs se sont accentués jour après jour. Et cela prouve que le cerveau a besoin d’un temps d’adaptation. La désintoxication numérique n'est pas si simple Évidemment, tout le monde n’a pas réussi à tenir le défi jusqu’au bout. Seules 120 personnes sur les 500 ont respecté l’expérience sans jamais rallumer Internet sur leur téléphone. Mais même ceux qui ont partiellement suivi les règles ont ressenti des bénéfices. Car soyons honnêtes, couper complètement Internet mobile est compliqué. On en a besoin pour le travail, la navigation routière, ou simplement écouter un podcast comme celui-ci. Alors quelle est la leçon principal à retenir de cette étude ? Et bien qu'il n'est pas nécessaire de tout couper pour se sentir mieux. Une simple réduction de l’usage du smartphone peut déjà faire la différence. Alors, la prochaine fois que vous vous sentez dépassé, pourquoi ne pas essayer une mini-détox numérique ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Et voici qu'Apple dit officiellement adieu au port Lightning d'Apple. Introduit en 2012 avec l'iPhone 5, il aura marqué plus d'une décennie d'appareils Apple. Mais maintenant, place à l'USB-C ! Voici ce qui change. Une disparition annoncée, mais progressive L' iPhone 16 marque la fin de la production de nouveaux appareils avec Lightning. Mais ce connecteur ne disparaîtra pas du jour au lendemain. Avec des milliards d'appareils en circulation avec des ports Lightning, les câbles Lightning auront encore leur utilité pendant plusieurs années. Alors, avant de les jeter, réfléchissez bien ! Un port révolutionnaire, mais pas sans défaut Conçu pour remplacer l'ancien dock à 30 broches, il était compact, réversible et plus pratique que le microUSB de l'époque. Pourtant, il avait ses faiblesses, notamment des câbles qui s'effilochaient facilement et des problèmes de corrosion. Apple a amélioré la situation en autorisant les câbles fabriqués par des tiers, mais la qualité restait très variable. Pourquoi l'USB-C prend le relais Plus rapide, plus puissant, compatible avec une large gamme d'appareils , l'USB-C était un choix logique. Mais ce qui a forcé la main d'Apple, c'est la réglementation européenne de 2022 qui impose un port de charge universel. Avec l'iPhone 16, la transition est désormais actée. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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C'est une décision lourde de conséquences. Apple a désactivé le chiffrement d’iCloud au Royaume-Uni. Pourquoi est-ce une mauvaise nouvelle pour tout le monde ? On voit ça ensemble en trois points. C'est une décision prise par Apple sous la contrainte du gouvernement britannique Depuis 2016, la loi britannique Investigatory Powers Act impose aux entreprises de la tech d’accorder un accès aux données chiffrées aux autorités sous certaines conditions. Apple, refusant de créer une porte dérobée, on dit aussi une backdoor, a préféré désactiver l’option de chiffrement d’iCloud pour ses utilisateurs britanniques. Résultat, toute personne essayant d’activer cette protection reçoit un message d’erreur. Un impact sur la vie privée et la sécurité des données des utilisateurs d'iCloud Et cela a un impact sur la vie privée et la sécurité des données des utilisateurs d'iCloud, qui est le service de stockage en ligne d'Apple. Le chiffrement de bout en bout garantit que seuls les utilisateurs ont accès à leurs données. Sans cette protection, les risques de fuite ou d’accès non autorisé augmentent. Pour l’instant, certaines catégories de données, comme les mots de passe ou les infos de santé, restent sécurisées. Mais la suppression de la fonctionnalité Advanced Data Protection affaiblit la protection globale du stockage dans le cloud d'Apple. Un précédent à l’échelle mondiale Enfin, et c'est peut-être le plus inquiétant, il s'agit d'un précédent à l’échelle mondiale. Ce qui se passe au Royaume-Uni pourrait inciter d’autres pays à exiger les mêmes concessions. Si Apple cède ici, pourquoi ne le ferait-il pas ailleurs ? Comme le souligne David Ruiz, expert en cybersécurité, cette décision a des implications bien au-delà du Royaume-Uni et pourrait affaiblir la confidentialité des données dans le monde entier. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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C'est donc le fabricant d'ordinateur Acer qui a décidé de tirer en premier. La marque vient d’annoncer une hausse des prix de ses ordinateurs portables aux États-Unis. Et ce n’est peut-être que le début… Les produits électroniques et les machines représentent la moitié des exportations chinoises vers les États-Unis, soit environ 207 milliards de dollars. En fait, 80 % de tous les ordinateurs portables importés aux États-Unis sont fabriqués en Chine. Alors voyons ce qui bouleverse le commerce international des ordinateurs. Pourquoi cette augmentation ? Le président américain Donald Trump a récemment imposé un droit de douane de 10 % sur toutes les importations chinoises . Or, la majorité des ordinateurs portables vendus aux États-Unis sont fabriqués en Chine. Acer a donc décidé d’augmenter ses prix pour compenser ce surcoût. Concrètement, un modèle vendu aujourd’hui à 1 300 dollars pourrait passer à 1 430 dollars une fois ces nouveaux tarifs mis en place. Quel est l'impact de cette décision pour l’industrie informatique ? Et bien d’autres fabricants pourraient suivre l’exemple d’Acer, comme Dell ou Asus. Certaines entreprises avaient anticipé en stockant des composants pour retarder l’augmentation des prix. Mais une fois ces stocks épuisés, les hausses seront inévitables. L’effet pourrait se répercuter sur l’ensemble du marché des PC portables aux États-Unis. Quelles sont les solutions étudiées par les fabricants d'ordinateur pour diminuer leurs prix ? Le PDG d’Acer, Jason Chen, a évoqué la possibilité de déplacer la production hors de Chine, et peut-être même aux États-Unis. Et Microsoft aurait demandé à ses fournisseurs de "quitter les pays qui seront frappés par les droits de douane". Si de telles décisions sont prises, elles seraient une victoire pour Donald Trump. Mais de tels changements ne se font pas en un jour. Délocaliser une ligne de production, c’est coûteux, complexe et ça prend du temps. En attendant, ce sont les clients américains qui devront mettre la main au portefeuille. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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YouTube vient de souffler ses 20 bougies. Pour nombre d'entre vous ça doit leur faire tout drôle ! Et la société rachetée par Google il y a bien longtemps à présent en profite pour annoncer une pluie de nouvelles fonctionnalités pour cette année. Bien sûr, ces nouveautés sont largement portées par l'intelligence artificielle. Si vous créez du contenu ou simplement aimez regarder des vidéos, ces changements pourraient donc bien vous intéresser. Voici trois points pour mieux les comprendre. L'IA pour le processus créatif Premièrement, YouTube mise sur l'IA pour accompagner les créateurs de contenus dans leur processus créatif. L'entreprise annonce des outils d'aide à la génération d'idées, de titres et de vignettes pour vidéos. Mais aussi un système de doublage automatique en plusieurs langues accessible à tous les créateurs du YouTube Partner Program. C'est une véritable aubaine pour ceux qui veulent toucher un public international sans avoir à enregistrer leur propre voix dans différentes langues. Du machine learning pour estimer l'âge de l'audience Deuxièmement, la plateforme cherche à mieux protéger ses utilisateurs, et ce grâce à l' apprentissage automatique , on dit aussi Machine Learning en anglais. Par exemple, un système d'estimation d'âge permettra d'adapter le contenu aux jeunes spectateurs. En parallèle, YouTube déploie un programme pilote pour permettre aux influenceurs de contrôler la manière dont l'IA les représente dans les vidéos, et ce avec des outils de détection avancés. L'idée bien évidemment est de lutter contre les deepfakes . La TV a dépassé le smartphone comme principal écran pour YouTube Enfin, YouTube adapte son produit aux nouvelles habitudes des spectateurs. Aux États-Unis, la télévision a dépassé le smartphone comme principal écran de visionnage de YouTube. En réponse, YouTube améliore ses fonctionnalités télé, avec notamment une expérience second écran qui permet d'interagir via le smartphone tout en regardant la vidéo sur grand écran. Autre nouveauté, la fonction "Watch With" qui permettra aux créateurs de commenter en direct des événements comme des matchs ou des spectacles. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Ce n'est que le début mais voici que les professionnels commencent véritablement à s'emparer de l'IA au quotidien. La société Anthropic vient à ce titre de donner quelques chiffres sur comment son IA Claude est utilisée à des fins professionnelles. Je vous explique tout ça en trois points. Quelles sont les professions qui utilisent le plus Claude ? Selon l'étude d'Anthropic, les ingénieurs en logiciel arrivent en tête de liste. Plus de 37 % des requêtes portent sur du débogage de code, du dépannage réseau ou des tâches de développement. Vient ensuite le domaine de la rédaction et de l'édition, avec plus de 10 % des requêtes. Ce qui est intéressant, c'est que ces professions ne représentent qu'une petite partie du marché de l'emploi. Mais elles sont les plus enclines à adopter l'IA. Mais il est difficile à partir de l'étude des requêtes et des prompts d'avoir une idée précise des emplois, note cependant Anthropic. "Les emplois ont souvent certaines tâches et compétences en commun : par exemple, la reconnaissance visuelle des formes est une tâche effectuée par les designers, les photographes, les agents de sécurité et les radiologues", mentionne l'étude. S'agit-il d'une augmentation ou d'une automatisation du travail des professionnels ? L'étude montre que dans près de 60 % des cas, l'IA est utilisée pour augmenter les capacités humaines. Cela signifie qu'elle aide les professionnels à valider leur travail, à apprendre de nouvelles compétences ou à améliorer leurs idées. En revanche, dans un peu plus de 40 % des cas, l'IA prend directement en charge une tâche, ce qui s'apparente à de l'automatisation. Les perspectives d'évolution de l'utilisation de l'IA Quelles sont les perspectives d'évolution de l'utilisation de l'IA par les professionnels ? Anthropic estime que plutôt que de remplacer complètement des emplois, l'IA pourrait transformer en profondeur certaines professions en modifiant les tâches qu'elles impliquent. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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C'est un paradoxe étonnant. 97 % des dirigeants d’entreprise prévoient d’intégrer l’ intelligence artificielle dans leur stratégie, mais seulement 1,7 % se sentent réellement prêts à franchir le pas mentionne une étude de Cisco. Alors pourquoi un tel décalage entre ambition et préparation ? Manque de connaissances techniques Premièrement, si 80 % des dirigeants reconnaissent le potentiel de l’IA dans leur métier, beaucoup sont freinés par leur manque de connaissances techniques. Près de 70 % redoutent que ce déficit ne leur fasse perdre du terrain face à leurs concurrents. Et pour cause : plus de la moitié d’entre eux estiment déjà avoir perdu en compétitivité en raison d’un sous-investissement technologique. Les trois priorités des chefs d'entreprise face à l'IA Deuxièmement, les chefs d’entreprise ne comptent pas rester passifs. Pour combler ce retard, ils ont défini trois priorités. D'abord investir dans les compétences de leurs équipes. Ensuite moderniser leur infrastructure informatique. Et enfin surtout renforcer la cybersécurité. Mais ils ne veulent pas agir seuls. 96 % des dirigeants s’appuient sur des partenaires de confiance pour accompagner cette transformation. Une inaction destructrice Enfin, Cisco souligne que l’inaction pourrait coûter cher. Selon l’étude, le manque d’investissement dans les nouvelles technologies pourrait entraîner une hausse des coûts d’exploitation, une baisse de la productivité et au final une perte de parts de marché. À l’inverse, les dirigeants qui osent adopter l’IA dès maintenant peuvent en espérer des bénéfices clairs. Ils citent sur le podium : Des gains d’efficacité La stimulation de l’innovation Le fait d'être en avance sur la concurrence En résumé, les entreprises doivent agir vite et de manière stratégique, en misant sur des infrastructures modernes et des réseaux résilients pour rester compétitives à l’ère de l’IA. C'est en tout cas le souhait de Cisco qui est, rappelons le, un vendeur de matériel réseau et informatique. Jeetu Patel, le Chief Product Officer de Cisco en est lui persuadé. « À terme, il n’y aura plus que deux types d’entreprises : celles qui sont des entreprises d’IA, et celles qui ne sont plus pertinentes » dit-il. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Aujourd'hui je vous explique pourquoi les Etats-Unis ont décidé de mettre le concept de sécurité de l'IA à la poubelle au profit de la domination du secteur de l'IA. Et cela passe tout d'abord par de grands changements réglementaires. L'administration Biden avait mis en place plusieurs mesures de sécurité et de surveillance du développement de l'IA. Mais avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, ces mesures sont suspendues au profit d'une approche bien plus offensive. Que prévoyait le décret de Joe Biden ? Signé en octobre 2023, il imposait des obligations aux entreprises qui fabriquent de l'IA. L'idée était de garantir plus de transparence et de sécurité pour les utilisateurs. Un organisme, l'Institut américain de sécurité de l'IA, avait été créé pour superviser ces tests et collaborer avec des entreprises comme OpenAI et Anthropic . De plus, des agences de protection des consommateurs travaillaient à limiter les risques d’abus dans l’utilisation de l’IA dans le secteur financier. Mais avec Trump, tout à changé ! Quelles sont les décisions de l'administration Trump en matière d'IA Dès le premier jour de son mandat, Donald Trump a annulé le décret de Biden et mis en place un nouveau texte visant à renforcer, je cite, la "domination" des États-Unis en matière d'IA. Contrairement à son prédécesseur, ce texte ne mentionne ni protection des données, ni obligations pour les entreprises, ni même la question de la sécurité. Il cherche surtout à lever les "contraintes réglementaires" pour accélérer le développement de l'IA. Quelles sont les conséquences directes du remplacement par ce texte de celui de Joe Biden ? L'administration Trump a ordonné l’arrêt de certaines initiatives de régulation, et l'Institut américain de sécurité de l'IA a perdu sa directrice, laissant planer le doute sur son avenir. Cela signifie que les entreprises de l'IA vont pouvoir développer leurs technologies avec moins de restrictions. Mais cela pose une question essentielle : la priorité donnée à l’innovation ne risque-t-elle pas de se faire au détriment de la sécurité et des droits des citoyens ? Certains experts redoutent un "moment Tchernobyl" pour l'IA, une crise majeure qui pourrait secouer tout le secteur si ces nouvelles libertés entraînaient des dérives. A noter tout de même, en France et en Europe, l'entrée en application toute récente de l' IA Act , un texte censé encadrer la fabrication et les usages de l'intelligence artificielle sur le vieux continent. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Plus de 300 milliards de dollars ! C’est la somme que les géants de la tech prévoient d’investir dans l’ intelligence artificielle en 2025. Une frénésie qui soulève autant d’enthousiasme que d’inquiétudes. Pourquoi une telle course effrénée aux investissements ? Microsoft, Alphabet, Amazon et Meta ont explosé leurs budgets pour construire toujours plus de centres de données et acquérir les fameuses puces spécialisées en IA. Amazon , en tête de file, prévoit plus de 100 milliards de dollars d’investissement cette année, suivi de près par Microsoft et Google, avec respectivement 80 et 75 milliards de dollars. Le but ? Rester leader sur le marché en pleine expansion de l’ IA générative et des grands modèles de langage. Mais cette course à l’innovation a un coût, et tous les investisseurs ne sont pas convaincus. Concurrence et doute Car oui le marché est secoué par la concurrence et le doute. A commencer par les banques. Car si ces investissements sont stratégiques, ils inquiètent aussi les marchés financiers. En cause, la rentabilité encore incertaine de certaines solutions d’IA. Microsoft et Google ont ainsi perdu 200 milliards de dollars en valeur boursière après des résultats mitigés dans le cloud, et des dépenses toujours plus élevées. Autre source d’inquiétude, la montée de nouveaux acteurs, comme la start-up chinoise DeepSeek . Son modèle d’IA performant et bien moins coûteux a fait chuter l’action de Nvidia de 17 % en une seule journée. C'est tout simplement une preuve que l’IA se démocratise et pourrait devenir un marché plus compétitif que prévu. Cramer toujours plus de cash Entre risques et opportunités, la stratégie des géants est donc de cramer toujours plus de cash. Et ils en ont ! Face aux doutes des investisseurs, Sundar Pichai, chez Google, parle d’une opportunité gigantesque. Satya Nadella, chez Microsoft, refuse de ralentir. "Nous allons investir massivement, et nos clients pourront compter sur nous" claironne t-il. Seule exception, Meta, qui a su prouver que ses investissements en IA généraient déjà des revenus concrets via l’optimisation de la publicité sur Facebook et Instagram. Résultat, alors que les autres voient leur cours chuter, Meta gagne la confiance des investisseurs et grimpe en bourse. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Aujourd'hui, nous allons parler de décisions importantes prises en Europe, et qui vont toucher le commerce électronique en provenance de Chine. La Commission européenne veut donc mieux contrôler ces flux en provenance d'Asie. L'Europe annonce le renforcement des contrôles douaniers Concrètement, cela signifie que les autorités vont multiplier les vérifications aux frontières de l'Europe. Elles chercheront à repérer non seulement des produits défectueux ou contrefaits, mais également tout ce qui ne respecte pas les règles commerciales en vigueur dans l’Union Européenne. Bref, c'est un peu comme quand on vérifie la validité d’un billet à l’entrée d’un concert. Dans ce cas précis, le but est de s’assurer que les produits qui arrivent sur le marché européen respectent les normes de qualité et de sécurité en vigueur. Une nouvelle taxe ! Et le financement du renforcement de ces contrôles passera, je vous le donne en mille, par la mise en place d'une nouvelle taxe. Oui, pour aider les douanes à faire leur travail, la Commission propose d’introduire une nouvelle taxe sur ces importations. Elle doit toucher des plateformes de commerce électronique bien connues comme AliExpress, Shein ou encore Temu. Prenons l’exemple de Shein. Cette plateforme connaît un succès fou en Europe et en France en vendant des vêtements à moins de 10 euros. Avec l’arrivée de cette taxe, les autorités espèrent non seulement mieux surveiller ces échanges, mais aussi créer un environnement commercial plus équitable pour tous les acteurs du marché. Car ces décisions européennes doivent avoir un impact sur le marché du commerce électronique. Les chiffres ne mentent pas. L'année dernière, environ 4,6 milliards d’articles d’une valeur inférieure à 22 euros ont été importés directement en Europe. Et 91 % de ces colis venaient de Chine. Ce volume colossal pose des défis en termes de sécurité, de respect des règles et d’équité pour les commerçants européens. Reprendre les discussions sur la réforme douanière Pour répondre à ces enjeux, la Commission veut aussi accélérer les discussions sur une réforme douanière, qui traînent depuis 2023. L'objectif de cette réforme est de supprimer une exonération fiscale qui existe depuis longtemps sur les colis de faible valeur. Ce changement pourrait rapporter un milliard d’euros par an aux douanes. Par ailleurs, des enquêtes sont déjà en cours, notamment contre Shein et Temu, suspectés de ne pas respecter les normes européennes. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Aujourd’hui, on parle de l’Open Weight Definition, une initiative qui veut clarifier ce que signifie vraiment une IA open source . Vous avez peut-être entendu parler des efforts pour définir l’IA open source, mais des désaccords persistent. C’est pourquoi l’ Open Source Alliance propose sa propre vision à travers ce nouveau framework. Alors, en quoi consiste cette Open Weight Definition ? Voici trois points clés à retenir. Accessibilité des poids des modèles Premièrement, elle met l’accent sur l’accessibilité des poids des modèles. Pour rappel, les poids sont ces valeurs numériques cruciales qui définissent comment un modèle d’IA fonctionne après son entraînement. L’OWD, c'est à dire l'Open Weight Definition, veut garantir que ces poids soient accessibles aux chercheurs et aux développeurs. Transparence des données Deuxièmement, elle introduit une notion de transparence des données. Pas besoin de rendre publics tous les jeux de données d’entraînement, mais il faut au moins documenter leur origine et les méthodes de collecte. Cette exigence vise à renforcer la confiance sans forcément exposer des données sensibles. Transparence de l’architecture Troisièmement, la transparence de l’architecture. L’idée est de permettre aux experts d’analyser, modifier et améliorer les modèles sans devoir partir de zéro. Mais cette définition a aussi une dimension politique. L’Open Source Alliance cherche à s’imposer face à une autre organisation, nommée Open Source Initiative , en proposant une sorte d’"Open Source 2.0". C'est à dire une nouvelle version de la définition traditionnelle de l’open source pour mieux englober les spécificités de l’IA. Enfin quand je dis définition traditionnelle, il faut relativiser. Car la première version de l'IA open source date d'il y a à peine... trois mois. Reste que certains experts, comme l’avocate Heather Meeker , soulignent que les poids des modèles d’IA ne sont pas du code source. Et que donc ils ne peuvent pas être traités de la même manière. D’où son idée d’une licence spécifique, l’ Open Weights Permissive License , pour encadrer leur usage. En clair, l’Open Weight Definition est une tentative de normalisation qui reflète les défis uniques de l’IA. Mais dans un marché dominé par quelques grands acteurs et des réglementations encore floues, reste à voir si cette initiative prendra vraiment racine. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Et bien c'est l ’iPhone 15 d’Apple qui a été en tête des ventes mondiales l'an passé. Cette appétence pour le haut de gamme a un impact direct sur le chiffre d’affaires mondial des ventes de smartphones. Il a progressé de 5 % par rapport à 2023. Même le prix moyen de vente de smartphone a atteint un prix record de 345 euros. Ce sont des signes forts qui montrent que malgré tout, l'innovation et la qualité continuent d'attirer le regard des acheteurs de smartphone. La performance d’Apple L’iPhone 15, suivi de près par l’ iPhone 15 Pro et l’iPhone 15 Pro Max, domine donc les ventes 2024. Oui, les clients veulent du haut de gamme. Mais par ailleurs, les livraisons mondiales de smartphones ont connu une hausse de 4 % pour la première fois depuis 2021. C'est donc un peu comme si, après une longue période de ralentissement, le secteur du smartphone retrouvait le sourire. Les clients ne se contentent pas du minimum. Ils veulent de meilleurs appareils photo, des processeurs plus rapides et, bien sûr, les dernières technologies comme la 5G pour rester connectés. Apple au royaume des early adopters Pour aller plus loin dans l'analyse des ventes d'iPhone, les données montrent que, sur le dernier trimestre 2024, c'est bien l’ iPhone 16 Pro qui a dépassé les ventes des modèles standards. Cela prouve que dès leur lancement, les acheteurs passionnés se précipitent sur les derniers modèles Pro, souvent dès le mois de septembre où sont vendus les nouveaux iPhone, afin de profiter des toutes dernières innovations. Et une fois que l’engouement initial diminue, c’est au tour des modèles classiques de gagner du terrain. Ils sont plus accessibles pour un public soucieux de son budget. Cette dynamique crée une alternance dans la demande et contribue à la stabilité des ventes d’Apple. La concurrence est forte sur le marché mondial Apple n’est pas le seul à innover. Samsung, par exemple, continue de marquer des points grâce à sa série Galaxy S24 . Le Galaxy S24 Ultra a même réussi à entrer dans le top 10 mondial des meilleures ventes. Une première pour la série S de Samsung depuis 2018. L'intégration précoce de fonctionnalités d'intelligence artificielle dans ses smartphones est la cause de ces bonnes ventes. Et ce n’est pas tout. D’autres marques comme Vivo et Xiaomi montrent une croissance significative. Cela prouve que la compétition est rude et que l’innovation, surtout autour de l ’IA et des capacités de la 5G , est désormais un facteur clé pour séduire les clients. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Et voici que la semaine dernière Meta , l'entreprise de Mark Zuckerberg, a décidé lors de la présentation de ses résultats financiers de communiquer sur ses investissement en matière de réalité virtuelle et de réalité augmentée . Cela fait des années à présent que Zuckerberg a décidé de miser gros, très gros, sur la réalité virtuelle et augmentée. Au total, plus de 100 milliards de dollars d'investissement ont été engloutis dans cette tentative dont le résultat espéré n'est rien de moins que de dépasser l'ère du smartphone. 20 milliards de dollars cramés en 2024 Reality Labs, la division de Meta consacrée à ces technologies, a englouti près de 20 milliards de dollars de cash rien qu'en 2024. C'est un record. Et ce gouffre financier n'est pas prêt de s'arrêter. Oui, l'entreprise prévoit d'investir encore plus en 2025. Tout cela pour développer des lunettes connectées comme les Ray-Ban Meta , qui commencent à trouver leur public. Les casques de réalité virtuelle Quest eux peinent encore à convaincre le grand public. Créer une nouvelle plateforme informatique Deuxièmement, la stratégie de Meta n'est pas juste un coup de poker. L'objectif est de créer une nouvelle plateforme informatique qui pourrait, à terme, remplacer les smartphones. Ce changement de plateforme serait aussi un moyen pour Meta de se libérer de la domination qu’exercent Apple et Google sur l'univers des smartphones et donc de la technologie mondiale. Oui, ce sont ces deux entreprises qui contrôlent aujourd'hui les systèmes d'exploitation mobiles. Et tant que cela sera le cas, Meta n'aura pas son mot à dire sur l'avenir de la technologie. Zuckerberg mise donc sur des lunettes de r"alité augmentée de plus en plus avancées pour rebattre les cartes. Il a déjà présenté un prototype, appelé Orion , en septembre derniers. Et oui, là aussi, Meta est en compétition directe avec des projets similaires portés par Apple et Google. La course aux milliards touche tout le monde Troisièmement, ce type d'investissement massif n'est pas un cas isolé dans le monde de la tech. La différence ici est que Meta a choisi de communiquer sur les chiffres. Mais sans le dire, Microsoft a mis des milliards sur son moteur de recherche Bing. Sans le dire, Amazon à fait de même avec son assistant Alexa . Et Google a mis des milliards d'investissement dans son cloud. Toujours sans le dire. Meta joue donc la carte de la transparence en annonçant ces chiffres, quand ses concurrents restent plus discrets sur leurs propres investissements. Peut être parce que si Reality Labs enregistre des pertes record de 17,7 milliards de dollar s en 2024, Meta reste très rentable grâce à son business publicitaire. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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Comme souvent, c'est un changement qui se produit en ce moment même aux Etats-Unis, et qui arrive en France. Ce bouleversement nous vient des objets connectés de santé. Écoutez bien. Nous sommes passés en moins de deux décennies du simple suivi de notre activité physique à des dispositifs capables de nous mettre directement en relation avec des professionnels de santé. Mais pour bien comprendre, revenons en 2007. Oui, 2007 c'était le tout début des appareils connectés de santé, que l'on appelle aussi des wearables. Tout a commencé avec le bracelet connecté Fitbit . Ce bracelet comptait nos pas et les calories que nous brulions. À l'époque, il fallait synchroniser les données avec un ordinateur pour les consulter. Aujourd'hui, c'est bien différent. Temps réel et miniaturisation Nos montres et bagues connectées suivent en temps réel notre fréquence cardiaque, notre stress et notre sommeil. Elles nous conseillent même sur notre santé et notre bien-être. Et surtout, les facteurs de forme des appareils connectés sont en train de radicalement changer. La nouvelle tendance ? Les bagues connectées . Elles offrent des données précises sans l'encombrement d'une montre. Mais surtout, elles sont bien plus endurantes en termes d'autonomie. Mais la vraie révolution ne vient pas de la nouvelle forme des appareils connectés. Oui, le vrai changement c'est la connexion directe de vos appareils connectés aux professionnels de santé. C'est la grande nouveauté qui pourrait rapidement transformer notre manière de nous soigner. Explorer la relation objet connecté et praticien de santé Par exemple, Withings a lancé la fonctionnalité " Cardio Check-Up ". Cette fonctionnalité envoie les données cardiaques collectées à un cardiologue, qui les analyse et renvoie un diagnostic sous 24 heures. Autre exemple, le fabricant de bague connectée Oura s'est associé à une mutuelle de santé américaine pour fournir ses bagues aux assurés. L'objectif ? Transmettre des données de santé aux médecins afin d'améliorer le suivi des patients. Avec un marché qui devrait passer de 91 milliards de dollars en 2024 à plus de 324 milliards en 2032, la santé connectée a encore de beaux jours devant elle. La question est maintenant de savoir si ces objets deviendront des outils indispensables pour notre suivi médical. Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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